Déçu qu’aucun éditeur de Beyrouth n’accepte de publier le roman qu’il a écrit entièrement à la
main, Farid accepte un emploi de correcteur dans une imprimerie réputée. Il fera chavirer le cœur de l’épouse de son patron avant de découvrir les manœuvres frauduleuses des gérants de l’imprimerie et de leurs ancêtres. L’auteur présente ici le monde du livre comme un microcosme de Beyrouth, ville qui ne ressemble à aucune autre, pépinière des plus beaux talents, paradis de l’argent sale et de la corruption.