Retrouvez les plus grands succès d'Esparbec, légende vivante de la littérature érotique !
Le meilleur d'Esparbec
Ce livre compile trois succès d'Esparbec, grand nom de la littérature érotique contemporaine :
La foire aux cochons
Fleshtown, grosse bourgade du Kansas. Deux dangereux pervers se sont échappés du bagne. Darling est seule : tous les habitants sont partis faire la fête à la foire des éleveurs de porcs. Pendant toute une longue nuit, elle va devenir la proie des deux forcenés. Dehors, la vie continue : le shérif Prentiss enquête sur un café-billard tenu par Sam, mari complaisant qui essaie de détourner la loi... en se servant de sa femme. Sigmund-de-Pigalle, musicien bossu, visite les femmes pour leur vendre de la lingerie fine...
Ainsi débute la saga de Darling, pastiche baroque de la littérature porno américaine des années soixante et galerie balzacienne de personnages plus vicieux les uns que les autres.
La Pharmacienne
La Pharmacienne est un roman pornographique " pur et dur ", où les métaphores sont bannies, les adjectifs concrets, et les descriptions méticuleuses sans être délayées. En outre, un humour noir assez décapant ne gâte rien à l'affaire. Les tribulations de Bébé, Laura Desjardins, Beau P' et son cousin Ernest constituent un vaudeville d'un genre nouveau, lubrique et facétieux. Gageons que sa lecture en surprendra plus d'un qui avait, sur ce type de littérature, des préjugés que l'actuelle liberté d'écriture a rendu désuets. Le roman est suivi d'une postface d'Esparbec sur la pornographie. Romancier prolifique, Esparbec refuse avec horreur d'être considéré comme un auteur érotique; il se définit comme " pornographe à part entière ". Après avoir écrit près d'une centaine " de bouquins de cul ", il a publié en 1998 à la Musardine son premier " vrai roman ", un récit autobiographique : Le Pornographe et ses modèles. La Pharmacienne appartient à sa première veine.
Les mains baladeuses
A Fleshtown, grosse bourgade somnolente du Kansas, se déroulent d'insolites turpitudes. Le Pasteur Bergman s'est fait une spécialité de " préparer aux plaisirs de la chair " toutes les oies blanches des environs en vue de leur mariage. A l'aide de ses pilules contre la timidité et de séances d'hypnose plus ou moins catholiques, il vient à bout des scrupules surannés des plus pudibondes. Cachée dans le cabinet noir, Cécilia Harding, la préceptrice des filles, épie ces jeux scabreux. Ce n'est pas sans conséquence sur sa propre vie amoureuse, dont elle nous raconte les péripéties les plus lubriques dans son " Cahier rouge ". Les pages de ce journal intime alternent avec celles des " Carnets de chasse " du Pasteur et du " Journal de bord " d'Esparbec, que l'écriture de ce roman pornographique perturbe plus qu'il ne l'aurait souhaité...