Le jardin n’est pas à jamais fermé des mystérieux Avallons et des Thulés blanches ; les portes n’en sont point irrémissiblement closes.
Toi que dans les plaisirs troublent des visions pâles, fuis les cités où tu traînas ton cœur, ton pauvre cœur enténébré. Toi qui es las des voix banales, quitte les foules bruissantes et sonorement vides et va par les chemins détestables pour tous. Tu trouveras le jardin des Avallons mystérieux et des blanches Thulés.
Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.