C'est un livre de notre présent, pour nos jours et nos coeurs : exigeant et recueilli, fruit de l'essentiel ; c'est un silence de plénitude qui est offert à ceux qui cheminent dans cette vallée de larmes et qui nous rassasie, tout comme les maximes du Journal de Dag Hammarskjöld :
Je suis le récipient. Le breuvage appartient à Dieu.
Et Dieu est celui qui a soif.
Quel est finalement le sens du mot sacrifice ?
Ou même du mot don ?
Celui qui n'a rien, n'a rien à donner.
Le don va de Dieu à Dieu.
Carlo Ossola