Après le succès de Ceci n'est pas une crise
(juste la fin d'un monde), Philippe Dessertine
poursuit son entreprise de décryptage
et s'attaque à l'un des sujets les plus tabous,
habituellement réservé aux cénacles
de la politique et de la finance internationale :
le risque de guerre.
C'est parce que tous les gouvernements,
les puissants de ce monde, du Trésor américain
au Vatican en passant par les compagnies
pétrolières, s'efforcent de prévoir l'avenir proche
et raisonnent sur le risque de guerre pour
les démocraties que l'auteur estime ce sujet trop
important pour être laissé hors du débat public.
À l'opposé de tout catastrophisme, sa réflexion
a l'ambition d'offrir aux lecteurs une
compréhension actualisée de cet enjeu majeur :
Pourquoi le risque de guerre est-il si fort depuis
la crise économique ?
Qui sont ceux qui pourraient être tentés
de penser qu'«une bonne guerre et ça repart...» ?
Et surtout quel est l'autre tabou, économique
celui-ci, dont de plus en plus d'initiés supposent
qu'il est le seul remède au scénario guerrier,
mais que si peu d'hommes politiques osent
aujourd'hui verbaliser ?