Depuis longtemps insiste le distique
suivant : un homme est très peu de
mots / qu'il recommence jusqu'à sa
mort. Quelques-uns de ces mots
servent à la définition d'un possible
paradis : par ex. le mot fleuve, les
mots frère ou chose, le sujet nous qui
est un ensemble commun, l'éparpillé
du mot neige et son équivalent
anglais snow, par ex. la joie qu'il
y a dans le mot danse, ou dans le
prénom de lui, etc.