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C'est une tradition populaire bretonne qui a inspiré le Naufrage du Monte-Christo à Jean Mistler.
Au cours d'un séjour à Quiberon, vers 1930, l'écrivain avait entendu raconter comment, au début du XIXe siècle, un brick, le Monte-Christo, s'était perdu corps et biens sur la Côte sauvage. Sur ce fait réel, l'imagination folklorique a brodé : on a raconté que le bateau avait été attiré au milieu des récifs par des feux allumés sur la côte ; on a ajouté que l'épave avait été pillée, et que, pour voler la bague en or que portait le capitaine, on lui avait coupé le doigt ! Mais sa veuve aurait maudit les responsables du naufrage, et, depuis quatre générations, leurs descendants seraient punis pour la faute de leurs ancêtres.
Cette légende se retrouve, avec des variantes, tout le long des côtes bretonnes. Jean Mistler l'a souvent entendue dans les petites îles de Houat et de Hoëdic, et il l'a prise comme point de départ de son roman, pour montrer de quel poids peuvent peser les traditions et les croyances. En même temps, il a peint Houat et Hoëdic comme il les a connues, à une époque où elles étaient encore des petits mondes clos, isolés au milieu d'une mer farouche, et où leurs populations conservaient toute la simplicité des moeurs ancestrales.
Dans ces paysages admirables et dans ce cadre resté primitif, une émouvante histoire d'amour se déroule et emprunte à un arrière-plan mystérieux de dramatiques résonances.