Il y avait six canots sur le pont, calés dans leur berceau, sans compter la grande baleinière. Chacun était recouvert d'une bâche en grosse toile grise qui formait tente.
Une de ces bâches remuait, un vide se dessinait entre elle et le plat-bord, et l'on aurait pu penser à la présence de quelque animal si l'on n'avait distingué des doigts humains.
Du pont d'un paquebot aux paysages enchanteurs de Tahiti, un roman exotique de Simenon magnifié par le dessin et les couleurs de Loustal.