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Depuis que l’Etat a entrepris de contrôler le traitement de la santé psychique en France, les psychiatres, les psychanalystes, les psychologues et les psychothérapeutes s’accusent mutuellement d’être responsables du sentiment d’insécurité qui gagne la cité. Et c’est en vain que la puissance publique cherche à mettre tout le monde d’accord et à rassurer l’opinion en multipliant les procédures d’expertise fondées sur des principes prétendument scientifiques.
Bref, les professionnels sont en émoi et les patients ne savent plus à quel saint se vouer. Quant à l’Etat, courant après le charlatan un gourdin à la main, il peine à différencier médecines parallèles, sectes, psychothérapies et nouvelles thérapies, au risque de passer bientôt pour un fauteur de troubles.
Comment en est-on arrivé là et comment en sortir ? Comment concilier le principe de liberté en vertu duquel nous revendiquons de choisir qui nous soigne, et le principe de sécurité au nom duquel nous exigeons d’être protégés des imposteurs ?