M. Abraham Behar, un riche marchand d'Istanbul a perdu sa femme. Ses amis le voyant seul et abattu lui conseillent de se remarier ou d'adopter un animal de compagnie. Après beaucoup de refus, M. Behar
décide de se rendre à Paris où l'on trouve de tout et plus encore. Quel n'est pas son étonnement d'y rencontrer... un perroquet juif qu'il achète sur le champ.
Les contes judéo-espagnols, anciens ou nouveaux, portent la mémoire des Juifs sépharades, de leur sagesse, de leur mode de vie et surtout de leur humour. Comme les Juifs ottomans ne vivaient jamais en ghetto, ils ont aussi empruntés beaucoup de traits à leurs voisins grecs, turcs, arméniens... qu'ils ne manquent pas une occasion de mettre en scène.