« Petit Frère » , c'est ainsi que ses camarades appelaient le détenu Leocadio Minguez, lorsque la dictature étouffait le peuple d'Espagne et que Pepe Carvalho croupissait en prison. Un sacré bonhomme, ce « petit frère » ! Un trafiquant qui avait voulu faire de la politique ! Trente ans plus tard, la presse annonce son suicide. Mais peut-on vraiment s'étrangler avec autant de violence ?