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Jacques Benoit aborde dans Le petit monsieur un genre ancien: le roman par lettres. À la mode aux XVIIe et XVIIIe siècles, puis devenu de plus en plus désuet, il est presque inconcevable de nos jours. Pourtant, il s'avère un choix d'une efficacité extraordinaire; en effet, dans cette forme littéraire le personnage de Rachel évince l'auteur et le narrateur, puisque c'est elle qui écrit les lettres. Le lecteur, acculé à son seul point de vue, se rend compte, grâce à la présence pourtant muette de l'auteur implicite, que la jeune femme est malheureuse, égoïste, incapable de voir la réalité et d'accepter l'aide des autres, qui se montrent d'ailleurs inaptes à la comprendre et à l'aider. Ainsi Rachel sombre dans son malaise, fait de masochisme, entêtement, désespoir, avec comme victime son propre enfant, un petit enfant sans défense (et sans nom), condamné à une solitude sombre et méfiante, jusqu'à l'anéantissement final.