« Lorsque j’ai véritablement pris conscience du changement climatique et des problèmes liés à la nécessité de se passer du pétrole, j’ai étudié les réponses que les gens y apportaient dans le monde et qui me semblaient compassionnelles. Et je n’ai rien trouvé qui me donne de l’énergie. Les Américains qui écrivaient sur le peak oil parlaient de se retirer dans les montagnes du Nebraska avec quatre ans de papier-toilette, des boîtes de haricots et des armes à feu. Ça ne me paraissait pas la meilleure solution… » Rob Hopkins a alors cherché comment tous ces enjeux pourraient rapprocher les gens plutôt que les séparer, comment ils pourraient stimuler leur créativité et leur capacité à innover.