Il ne passe aucun Boeing 747 dans ce livre, dont les héros se nomment Buenaventura, Dacien ou Timour mais des millions de chevaux à demi sauvages y mènent un train d'enfer entre Séville et Samarkand.
On y assiste à l'une des plus grandes batailles de tous les temps et au premier des crimes parfaits. Sans doute y coupe-t-on trop de têtes ?
Cela dit, la convoitise, la trahison et le salut étant le sujet commun à ces trois récits, il se pourrait qu'ils n'en forment qu'un. Alors certaines ressemblances avec des personnages et des événements actuels ne seraient pas tout à fait fortuites.