« Les fabriques de conserves, les bâtiments de l'administration coloniale, les grandes banques, les usines de XX, les canaux, les entrepôts, les parcs, les villas, les automobiles, les bateaux à vapeurs, le quai au charbon... tout ça se mélange, ça hurle comme dans un grand tourbillon. À marcher dans cette ville saturée, on en vient même à douter que quelque part dans ce monde puissent exister des paysans tout tordus et couverts de boue. Herbe, montagne, épis, rivières, engrais - c'est ça, un village de paysans ! A ceci près que les habitants d'Otaru, ils n'ont peut-être jamais vu de leurs propres veux, pas même une fois, un vrai paysan. [...] La seule chose, c'est qu'on ne peut plus se laisser avoir éternellement comme des « paysans ». »