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En Europe et en Amérique du Nord, ils sont des milliers : employés de maison clandestins, privés de papiers d'identité, battus, violés, mal nourris que les ONG libèrent parfois. Les tribunaux s'emparent de ces causes mais n'infligent que des peines dérisoires. En Asie, ils sont des millions mis en esclavage pour dettes. Des enfants livrés par leurs parents sont enfermés dans des ateliers.
Tel un serpent de mer, cet esclavage que la Déclaration universelle des droits de l'homme déclarait définitivement aboli, n'en finit pas de muer pour mieux étouffer des millions de victimes à travers le monde entier.
A partir des sources de l'ONU, Jean-Michel Deveau dénonce le scandale qu'entoure le silence complice des gouvernements et de la société tout entière. Alors que, pour l'instant, seules quelques ONG luttent avec des moyens dérisoires contre un tel fléau, Le retour de l'esclavage au XXIe siècle en appelle à la création d'une juridiction internationale qui prenne en compte l'esclavage contemporain comme un crime contre l'humanité.