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Un hasard tragique a voulu que Claude Rank arrivât le 16 janvier 1968 sur l’aéroport de La Aurora, au Guatemala, au moment précis où l’ami qu’il venait voir — le colonel américain Weber — était abattu sous ses yeux par des terroristes. Arrêté, interrogé, fouillé par la police guatémaltèque à la descente même du Boeing en provenance de Miami, via Cuba, il était bien près de renoncer deux heures plus tard à écrire ce récit de « politic-fiction » pour lequel pourtant il avait traversé l’Atlantique. A 14 heures, alors qu’incendies, explosions, attentats faisaient rage dans la ville, il rencontrait l’un des proches de Miss Guatemala 1959, assassinée la veille à coups de gourdin par des extrémistes. A 16 heures, il décidait d’écrire malgré tout ce roman : LE SOLDAT DE LA AURORA. C’est une femme. Diamante... Dure comme lui, résolue, implacable, pilote de chasse à vocation de kamikaze. Une femme ? Mieux. Le symbole de la guerre sans pitié que mène actuellement l’Amérique centrale contre l’arbitraire de l’injustice des trusts, mais aussi contre la monstrueuse imbécillité d’un extrémisme bien opposé, certes, au premier mais trop politisé, féroce et vain pour qu’il apporte jamais autre chose que déception, misère, corruption et anarchie.