«Il s'agit, pour moi, d'une poésie pleine de fulgurances qui a beaucoup de parenté avec la poésie pré-colombienne.
Ces poèmes, dédiés à l'un des plus ardents défenseurs de la liberté du Guatemala, en retrouvent le lyrisme exacerbé et le ton épique.»
Jean-Jacques Fleury, traducteur en langue française du dramaturge guatémalèque José Manuel Arce - Mars 2002.
«Le sourire aborigène est un bel hommage à celui qui a toujours été sensible à ce que ressent le peuple guatémalèque...
Jean Monnet, en tant que poète et artiste, ouvre des chemins qui nous sont, il est vrai, peu familiers. Sa poésie, pleine des grands symboles de l'humanité, touche nos sensibilités et notre imagination. Elle a surtout l'audace de s'adresser à ceux qui comme Jaime Diaz Rozzoto, osent croire en l'homme, à cette dignité que nous portons au plus profond de nous-mêmes, pour nous faire accéder à plus de lumière et de liberté.»