José Moselli, ou l’écrivain sans livre...
C’est la malencontreuse réputation que traîne José Moselli, auteur pourtant de près d’une centaine de romans-feuilletons. En effet, à par La Fin d’Illa, son chef d’œuvre en matière de science-fiction, La Guerre des Océans et quelques nouvelles, toujours les mêmes, on ne trouvera pas sous forme de volume les autres productions d’un des plus grands auteurs de romans d’aventures français. Seuls quelques rares collectionneurs, détenteurs de belles collections de l’Intrépide et autres publications d’Offenstadt, ont la possibilité de se replonger avec délice dans la lecture exhaustive de ce maître du roman populaire. Nous avons le privilège de compter parmi nos amis quelques-uns de ces amateurs éclairés, qui ont bien voulu mettre à notre disposition leurs fabuleuses collections. Alors, si les lecteurs d’aujourd’hui veulent bien nous suivre, il se peut que le Sultanat de Kazongo constitue le premier volume d’une longue série consacrée à la résurrection littéraire, enfin définitive, de José Moselli.