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Octobre 1981. Gabriel Carré, chef de l’État depuis les élections de mai, inaugure avec trois cents privilégiés la ligne TGV. Dans un climat social à l’italienne, le nouveau train et le nouveau président font une cible de choix. Louis Maginot est le flic de l’Élysée. Ce matin-là, il a deux soucis : la sécurité de son patron et une dent de sagesse tardive. Deux raisons d’abuser des calmants. La troisième arrive par radio, cinq minutes après le départ : une voix incohérente enregistrée sur cassette prédit la destruction de la rame présidentielle. Faut-il arrêter le TGV ? Seul contre tous, contre la montre et la logique, Maginot doit d’abord répondre à deux questions contradictoires : Qui a posé une bombe dans la rame ? Pourquoi le terroriste est-il à bord ? L’enquête à 260 à l’heure, sous l’œil glauque des caméras TV, dans le grésillement désincarné des talkies-walkies, va remettre en scène un amour mort de mort violente, faire s’affronter furieusement des personnages au-dessus de toute passion, révéler que le terroriste n’en est pas un mais que la bombe, elle, est bien là. L’enquête devient chasse à l’homme. La folie souffle dans la rame. De la première étincelle d’angoisse à l’éclatement final, vous ne descendrez pas de ce TGV et vous n’arriverez pas indemne au bout de la ligne. Un train performant, un ton agressif. Un thriller sous 25 000 volts.