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De ce fort manuscrit écrit au stalag, Guérin tira en 1953 Les Poulpes. Récit de sa captivité, sa mort, en 1955, l’a empêché de réécrire ces pages qui relatent la déroute de 1940. Le stalag tourne à la caque fétide où marinent des grimaces d’hommes réduits à leurs sobriquets, rivés à leurs besoins. On fait mine de rien. Conçue pour être retravaillée, la première partie de ce journal est restée inédite. La voici, concentrée en ses plus noirs extraits. Ces « crayonnés au bivouac » dressent la carte du Tendre de la déculottée militaire et du déshonneur national. Plus de cinquante ans après, sans toilette de style ni polissage, revoici le mai, le triste mai 40 : le temps de la sottise et du soudard roi.