Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Ce Théâtre depuis 1968, celui qu’a choisi de nous raconter Colette Godard, est l’histoire d’une aventure, celle des petits enfants de Jean Vilar, nés ce jour de juillet 1968 où les dieux du Living Theatre ont quitté Avignon, laissant derrière eux s’éteindre la fête, semant sur les routes les débris de leur utopie anarchiste non violente. Fils de Planchon, frères de Chéreau, élèves de Vitez, ils veulent un théâtre populaire en édition de luxe. Et parce que le théâtre est devenu pour eux un moyen de comprendre ce qui se passe au dehors, ils choisissent leur famille en France ou ailleurs, chez les Grotowski, Ronconi, Bob Wilson, Peter Stein..., chez les philosophes ou les pop stars, dans les bandes dessinées, le cinéma ou la peinture. Arrivés au théâtre dans un climat confus, ayant subi les contre-coups des élections de la peur, ils ont rêvé sur le programme commun. Plus leur angoisse est profonde, plus leur misère est grande, plus la beauté leur sert à affirmer leur dignité. C’est néanmoins à son propre voyage que nous convie ici Colette Godard, comme à son bonheur de se balader à l’intérieur de l’image théâtrale. Et pourtant, dit-elle, "le théâtre n’est pas là pour provoquer des frissons esthétiques mais la marche de la pensée".