Le vieil homme et la mer
À Cuba, voila quatre-vingt-quatre jours que le vieux Santiago rentre bredouille de la pêche, ses filets désespérément vides. La chance l'a déserté depuis longtemps. À l'aube du quatre- vingt-cinquième jour, son jeune ami Manolin lui fournit deux belles sardines fraîches pour appâter le poisson, et lui souhaite bonne chance en le regardant s'éloigner à bord de son petit bateau. Santiago sent que la fortune lui revient. En effet, un marlin magnifique et gigantesque vient mordre à l'hameçon. Débute alors le plus âpre des duels.
Combat de l'homme et de la nature, roman du courage et de l'espoir, voici l'un des plus grands livres de la littérature américaine.