Quand les poètes penseront aux lecteurs plutôt qu'à leur nombril, la poésie s'en portera mieux.
Moins le poète trouve à écrire, plus il va à la ligne.
La poésie survit dans un bocal dont l'eau est rarement changée.
On discourt sur la poésie depuis quelques siècles. Mieux vaut en discouRIRE !