L'écho du corail perdu
Un jour, Marie Verneducci découvre que la bague, au corail verdoyant, legs de sa mère, est devenue une pierre noire et morte.
Elle s'engage alors à résoudre cette énigme, plus inquiétante qu'elle ne l'avait imaginée. Le récit prend l'allure d'un suspense écologique aux résonances philosophiques. Le flux et le reflux de l'écriture de ce premier roman dévoile le sens réel de la fiction : une intrigue parodique et virulente sur l'état du monde.
Cela devient le miroir onirique d'une pensée humaniste ; s'impose, alors, une métaphore de la condition humaine.