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Et si, au bout du compte, la société française ne réclamait rien d’autre que l’économie morale ? Non par nostalgie d’on ne sait quel ordre ancien et paternaliste mais en faisant confusément référence à l’arbitrage d’un État impartial et bienveillant ; un État qui serait capable, en dernier ressort, de contenir et de canaliser les forces économiques. Aujourd’hui, cette revendication inquiète en faveur d’un État « libre » vis-à-vis de l’argent se heurte à l’extraordinaire montée en puissance des marchés. Face à l’indiscutable réalité de la mondialisation, deux discours caricaturaux se répondent. Les ultralibéraux assurent que nos problèmes seraient résolus si prévalait enfin la loi des marchés. En face, les avocats inquiets de « l’économie mixte » se crispent sur la défense des « acquis » devenus ruineux pour la collectivité et désormais inadaptés à l’état de l’Europe ou du monde. N’est-il pas temps de récuser cette alternative ? Ne faut-il pas reconnaître et assumer un devoir d’inventaire ? Une mise à plat s’impose ; un tri doit être effectué dans ce qu’il est convenu d’appeler les « avantages acquis ». Ni crispation sur l’accessoire, ni renoncement à l’essentiel : refusant les faux débats empoisonnés, l’auteur de ce livre prend délibérément le parti de la raison, du bon sens et de l’audace.