Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Wem gehören Niemandsländer? Bei der Debatte um individuelles, gemeinschaftliches oder staatliches Eigentum an Grund und Boden konkurrieren seit der Antike theologische, philosophische, juristische und soziologische Argumente. Auch in der Literatur sind Niemandsländer ein Modell, Machtverhältnisse, Legitimation von Besitz, Autonomie und Zugehörigkeit zu reflektieren.
Niemandsländer sind Räume begrenzter Staatlichkeit und damit nur schwach oder gar nicht reguliert. Sie gelten den einen als gefährliche Landstriche, den anderen als Gebiete, die man ungestraft erobern darf. Verlassene Gegenden, Stadtbrachen, verwilderte Gärten und aufgelassene Industriegelände werden als Niemandsland bezeichnet und damit zu faszinierenden Orten. Sie bergen ein Risiko, wecken aber auch Neugierde und Kreativität, ziehen Flaneure, spielende Kinder, Verliebte, Dealer, Diebe, Künstler und Phantasten an und erlauben probeweise das Aussetzen der Regeln des Alltags. Im ersten Teil ihres neuen Buches steckt Dorothee Kimmich das kulturtheoretische Feld ab, in dem über Eigentumstheorien, Kolonialgeschichte, Pufferzonen, Bannmeilen, Kontaktzonen und Freiräume verhandelt wird. In einem zweiten Teil zeigen die Analysen literarischer Texte – u. a. von Johann Wolfgang von Goethe, Adalbert Stifter, Robert Musil, Franz Kafka, Walter Benjamin, Oskar Loerke, Michel Leiris und Chinua Achebe –, wie Erzählungen die komplexen Verhältnisse um Grund und Boden in Narrative von Heimat und Auswanderung, Zugehörigkeit und Fremde, Imagination und Spiel, Grenzübertritt und Gefangenschaft übersetzen. Sie gestalten den prekären Status, den oft widersprüchlichen Charakter, die diffusen Eigenschaften und widerstrebenden Gefühle, die zum Niemandsland gehören.