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Wie aHe werktatigen Teile des deutschen Volkes, so ist auch der arztliche Stand durch den Krieg aufs tiefste in Mitleidenschaft gezogen und vor neue Aufgaben gesteHt worden. In Friedenszeiten hatte sich bei vielen Arzten, namentlich in den groBen Stiidten, die Neigung geltend gemacht, ausschlieBlich ein engeres Sonder- fach zu pflegen; diesen kam bei Ubernahme eines Lazaretts mit einem Mal zum BewuBtsein, daB sie durch die Vertiefung in ihre Spezialwisscnschaft den Zusammenhang mit der iibrigen Medizin verloren hatten, sie fiihlten sich unsieher und muBten das Studium der anderen, unterdessen fortgeschrittenen Facher dort wieder aufnehmen, wo sie es nach A bschluB des Examens auf- gegeben hatten. Eindringlich wies die wcchsclvolle Tiitigkeit in den Heimatslazaretten wie auch im Felde darauf hin, daB der kranke Mensch ein unteilbares Ganzes, ein Individuum mit Leib und Seele ist, und daB es falsch ist, soin Leiden nur von einem be- schriinkten Gesichtswinkel aus zu betl'achten. - Andere Arzte hatten sich 'n den Miihen der tiiglichen Berufsarbeit, namentlich der Kassentiitigkeit, in eine eintonige Routine eingelebt und diese mit arztlicher Erfahrung verwechsclt; es fiel ihnen schwer, ihr Urteil, das sie bis dahin fUr unanfechtbar gehalten hatten, demjenigen der le. tenden Dienststellen unterzuordnen. - Die let. zteren, vor allem die stelly. Korpsarzte, hatten Gelegenheit, einen tiefen Einblick in das arztliche Berufsleben zu tun.