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« L’éléphant dans la porcelaine » est le titre d’un article en forme de manifeste, publié dans le premier numéro de Matulu mensuel brûlot fondé par Michel Mourlet en 1971. L’Éléphant… est un animal à géométrie variable qui pointe ses défenses tous azimuts. Littérature, théâtre, cinéma, arts plastiques, politique, morale, philosophie sont abordés ici dans une vaste chronique s’étendant sur plus de quinze ans. Les années 60-80 resteront parmi les plus grises dans les annales de notre culture. L’immédiat après-guerre, avec les Sartre et les Camus, paraîtra luxuriant en comparaison. L’est soufflement d’une avant-garde sexagénaire et le non-sense partagent les moyens d’expression et de diffusion ; un piétonnement de godillots freudo-marxistes scande le rythme de pensée. Parallèlement, une scolastique très semblable à son ancêtre médiévale envahit la Sorbonne, étouffe les œuvres du passé sous le lierre d’un verbalisme exsangue, épuisant d’avance toute vitalité créatrice. L’écriture tourne à vide et devient folle. L’Éléphant dans la porcelaine réunit les éléments d’un combat, d’abord mené dans la solitude (c’était après la démobilisation des « hussards »), puis peu à peu compris, encouragé. Matulu a ouvert la brèche dans laquelle s’engage l’Éléphant pour permettre le passage d’un courant d’idées maintenant irréversible. Ce courant, dont Roger Caillois, Georges Mathieu Raymond Abellio ont été parmi les premiers à souligner portée, postule qu’une Renaissance est possible.