Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Quarante ans après la création de l’École nationale d’administration par Michel Debré, Jean-François Kesler dresse, à travers « L’ENA, la société, l’État », le bilan objectif d’une institution à la fois haïe et admirée. L’auteur étudie l’influence de l’École sur les origines, le recrutement, les idées, l’esprit et les méthodes des hauts fonctionnaires. Contrairement aux idées reçues, il démontre que la plupart des énarques ne sont ni des bourgeois, ni des technocrates. Pour lui, « le pouvoir intellectuel échappe presque totalement aux anciens élèves de l’ENA ; le pouvoir économique leur échappe essentiellement ; le pouvoir administratif leur échappe en bonne partie. Finalement, c’est le pouvoir politique qui leur fait relativement la meilleure place. C’est pourquoi l’Énarchie donne l’illusion du Pouvoir » Jean-François Kesler se situe donc au cœur du débat sur le pouvoir. Il se situe également au cœur du débat sur l’école. En effet, à partir d’une analyse scientifique, il remet en cause les théories de Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron (et de leurs disciples), qui ont dominé depuis mai 1968, et il critique les maîtres-penseurs de la sociologie de l’éducation.