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Avec son troisième roman, Laurent Flieder quitte le XVIIIème siècle pour notre époque, qui certes lui ressemble, mais lestée d'une noirceur très particulière. Son héros ? Un petit garçon dans l'Italie des années 1970, pauvre et complexé par ses grandes oreilles, qui le font surnommer Dumbo. Devenu célèbre, il entreprend de tout raconter : l'enfance triste, le rêve avorté de devenir footballeur et surtout le grand-père adoré, balayeur municipal à la retraite qui bouleverse sa vie en lui offrant, à treize ans, son seul jouet « de riche » : un vélo. Cet engin va lui permettre d'échapper à sa vie, à son surnom, à sa mauvaise tête. Ainsi naît « Le Pirate », meilleur grimpeur du monde, emblème malgré lui des prodiges et dérives du sport spectacle, à l'époque de l'argent roi et de la réussite obligatoire. Couvert de femmes, surpayé, dopé comme les autres, il le paie plus cher : gagnant toujours, il perd à chaque fois. Car malgré l'EPO qui a « transformé le vélo en sport de glisse », la souffrance est omniprésente. Echappé solitaire, personne ne peut le rejoindre sinon un surhomme venu de la Lune. Mais lorsque la rencontre se produit il est trop tard : Nicco a déjà trop à faire contre les fantômes surgis des diverses substances avec lesquelles il est arrivé si haut. « Le vélo c'est facile, c'est mourir souvent. » Dans ce roman où chaque page laisse filtrer l'ombre héroïque et tragique de Marco Pantani, tout est vrai : nous le suivons dans la réalisation de ses exploits jusqu'au sommet d'une gloire immense, dans les replis de ses secrets très privés comme dans le gouffre de ses terrifiants derniers jours. Il fallait un romancier pour saisir dans sa complexité et son intimité la condition du champion moderne, condition "scientifique" d'abord, mais aussi condition inhumaine...