Paru en Allemagne en 2009 aux ÉDITIONS ALIBRI. Première traduction française À l'automne 1649, René Descartes se rend à Stockholm à l'invitation de la reine Christine de Suède. Quelques mois plus tard, le philosophe y décède, d'une pneumonie, dit-on. Cette explication soulève promptement des doutes ; des rumeurs selon lesquelles il serait question de poison. Theodor Ebert vérifie les indices et rouvre le « dossier Descartes ». À l'aide de documents existants mais jusqu'alors peu pris en considération, il reconstitue en premier lieu l'évolution de la maladie. Ce faisant, de sérieux doutes s'imposent quant au caractère naturel de la mort de Descartes. L'auteur s'attache alors à découvrir qui aurait pu avoir un mobile pour commettre un meurtre envers Descartes et si une opportunité se présenta d'empoisonner le philosophe. À l'issue de l'enquête minutieuse, l'énigme de la mort de Descartes apparaît sous un nouveau jour.