Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Le 24 décembre 1943 Charles de Tornebut se trouve devant l’église de Saint-Merri. Il est alors 23 h 18. Laurence Fresolle arrive au même instant. Ainsi que Michel Drouin. Tous les trois sont là, exacts, comme à un rendez-vous fixé longtemps à l’avance. Et pourtant, ils ne se connaissent pas. Mieux, Laurence Fresolle n’est jamais venue dans ce vieux quartier du Marais. Charles de Tornebut se promenait et ne savait pas où il se trouvait. C’est aussi le cas de Michel Drouin. Alors ? C’est sur cette étrange manifestation, qui ressemble fort à un triple envoûtement, que débute le livre de Raoul de Warren ? Non. Pas du tout. Car si la vie de tous les jours fourmille en effet de coïncidences et de rencontres fortuites, il en est parfois qui ne manquent pas de laisser dans l’esprit un obscur sentiment d’angoisse ; et lorsque le lecteur aura découvert, en même temps que les jeunes gens, l’inscription tracée sur la pierre sombre de l’autel de la crypte désaffectée de Saint-Merri il sera bien obligé de se demander ce que signifie cette suite d’événements étranges, déconcertants... La puissance des ténèbres leur confère un mystère sur lequel plane l’ombre du grand thaumaturge du XVIIIe siècle, Joseph Balsamo, comte de Cagliostro, personnage énigmatique, adepte des sciences occultes et de la magie noire. Réincarnation, envoûtement, magie noire... Il faut suivre ce grand maître du fantastique qu’est Raoul de Warren, pour comprendre que tout est mystère, dédoublement... Des anciennes vies secrètes revivent en nous, et le mystère agissant de toute existence se trouve dans ses préexistences, dans ce qui constitue l’identité nocturne.