Les belles vies
Après une bagarre qui a mal tourné, Vasco et Djib se retrouvent au commissariat de leur banlieue parisienne... et sont expédiés pour l'été dans une famille qui accueille à la campagne des enfants de la DDASS. Cet été au fin fond de la Nièvre s'annonce mortel. Il sera inoubliable.
Toute la saveur d'un été adolescent, fait de rencontres essentielles et de premières amours.
« Je crois que le pluriel de mon titre est très important. Ce que j'ai essayé de dire, ou plutôt de raconter, c'est que même les existences les plus chaotiques, tourmentées, les plus dures, peuvent parfois devenir de "belles vies"... au moins le temps d'un été. »
Benoît Minville
Les belles vies, un morceau de joie.
Libération
Ce qui frappe, c'est le son du livre. Le texte court, il brûle, on rit et les larmes viennent aux yeux.
Télérama