Parmi la cinquantaine de chimistes répertoriés sous la Révolution
et l'Empire, plus du tiers d'entre eux étaient des francs-maçons
reconnus, sans compter certains cas litigieux pour lesquels
les spécialistes de la franc-maçonnerie s'interrogent encore
aujourd'hui.
A quoi faut-il devoir ce nombre si important ? Après avoir indiqué
quelques pistes, l'auteur passe en revue toutes ces sommités des
sciences, souvent méconnues de nos jours, qui ont contribué
à sauver la toute jeune République, puis à assurer le succès du
régime napoléonien.