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11 décembre 1968 : un crime est commis au Fétich’s Club, une « maison de tolérance clandestine » ouverte à Neuville-sur-Ain, sur la Route Nationale 84, Lyon-Genève, près du camp militaire de Thol. Des gangsters dit « d’envergure » y sont arrêtés. Décembre 1968 à mai 1969 : l’attention des enquêteurs et du juge d’instruction est attirée par les agissements suspects de certains membre et ancien membre du corps de la police nationale, protecteurs des truands incarcérés L’un d’eux, à la retraite, est inculpé. Un autre, qui se trouve être à la tête du Groupe de Répression du Banditisme (la brigade anti-gang) de Lyon, est compromis et en passe d’être accusé de corruption. Juillet 1969 : le commissaire-chef des « incorruptibles » lyonnais se voit retirer l’« habilitation » dont dépendent ses compétences judiciaires. Décembre 1970 : scandale à Lyon. Des policiers du Groupe de Répression du Banditisme sont accusés d’avoir torturé l’assassin d’un chauffeur de taxi lyonnais. Avril 1971 : ni policier, ni juge, ni avocat, le journaliste Jean Montaldo (carte n° 22529) révèle dans Les corrompus l’identité de leur supérieur. Il s’agit du commissaire-chef du Groupe de Répression du Banditisme de Lyon, impliqué dans l’affaire du Fétich’s Club, convaincu de corruption et maintenu à son poste en dépit de la mesure administrative qui lui interdit d’accomplir tout acte judiciaire (interrogatoire, procès-verbal, arrestation perquisition, etc.). Après plusieurs mois d’une minutieuse enquête, Jean Montaldo accuse, preuves irréfutables en main, « les corrompus » qui déshonorent la police et la justice de France.