Au cours des quatre derniers siècles, l'archipel guadeloupéen a été affecté par de nombreuses manifestations météorologiques paroxysmiques (dépressions, tempêtes tropicales, cyclones, ouragans, etc.) qui ont détruit les habitations, anéanti les productions et frappé les populations en laissant les plus modestes dans le dénuement le plus total. Ces manifestations, que la mémoire collective a oubliées, doivent impérativement être gravées dans les consciences car ce n'est qu'à la lumière des acquis du passé qu'il sera possible d'appréhender la vulnérabilité de l'archipel, dans le but de l'aménager correctement.