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Depuis la dernière guerre, l’Occidental moyen est atteint de strabisme diplomatique. Il ne peut considérer la situation mondiale sans loucher : un œil sur les États-Unis, l’autre sur l’Union Soviétique. C’est pourquoi Robert Escarpit a tenté d’appliquer au problème la méthode qu’il emploie dans ses billets du MONDE. Elle consiste à se servir de ses deux yeux en même temps et, dans la mesure du possible, de les garder ouverts. Il ne s’agit ni d’une comparaison systématique, ni surtout d’un parallèle. Robert Escarpit a, de l’U.R.S.S. et des États-Unis, des expériences très inégales qui peuvent difficilement se réduire à un commun dénominateur. Il faut plutôt considérer ce livre comme un double diagnostic. Ce diagnostic est que "les deux font la paire, c’est-à-dire que chacun de ces deux peuples peut très bien suivre son chemin sans avoir rien à envier, rien à réclamer l’un à l’autre". En d’autres termes : "Il y a place dans la nature pour le rat des villes et pour le rat des champs. Il y a aussi place pour le rat d’égout et pour le grégaire lemming qui ne pullule que pour mieux marcher au suicide". L’auteur exprime l’espoir que "le ton plaisant de ce livre ne trompe personne sur ses véritables intentions". La vérité est sans doute que les intentions n’empêcheront personne de s’apercevoir que le livre est amusant.