Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Au printemps de 1929, l'archeologue Claude SCHAEFFER (AIBL 1953) decouvrait en Syrie, sur le site de Ras Shamra, un ensemble de tablettes et de fragments inscrits dans une ecriture cuneiforme encore jamais rencontree. En septembre 1930, trois savants, Hans Bauer a Halle, Charles VIROLLEAUD (AIBL 1941) a Paris, Edouard DHORME (AIBL 1948) a Jerusalem, reussissaient a decrypter ces signes, identifiant l'ecriture alphabetique d'une nouvelle langue semitique qu'ils appelerent ougaritique, d'apres le nom antique de la cite. Le 80e anniversaire de ce dechiffrement offrait une belle occasion de deployer l'eventail des recherches en cours sur le fabuleux royaume d'Ougarit, tant aux plans historique et economique que politique et artistique, confirmant le caractere unique de cette civilisation qui, malgre la multiplicite de ses composantes, avait su garder une identite forte. Huit langues et cinq systemes d'ecriture y sont attestes. A cote des nombreuses inscriptions en langue locale et en akkadien - la lingua franca de l'epoque -, les textes en hourrite, en egyptien, en hittite et en louvite, ou ceux, en caracteres chypro-minoens encore non completement dechiffres, les signes et les mots, la sculpture et l'architecture, dessinent le paysage fascinant d'Ougarit, porte mediterraneenne de l'Asie.