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Une femme : Séverine. Une forge : le Paradou. Autour, le Périgord du siècle dernier, celui d'Eugène Le Roy et de Jacquou le Croquant. Dans le Périgord, en ce temps-là, une multitude de forges étaient installées sur des rivières : l'Auvézère, la Lisonne, le Bandiat, l'Isle, la Ganne... C'est sur cette dernière que fonctionne la forge du Paradou : une vallée profonde encore hantée par les loups, au fond de laquelle bourdonnent le haut fourneau et les ateliers qui emploient des paysans-ouvriers, dominés par la silhouette austère du château occupé par le maître de forge Martin Laveyssade. Les temps sont durs, mais cette modeste industrie apporte au pays sinon la richesse, du moins une certaine aisance. Martin Laveyssade disparu, c'est à sa fille, Séverine, qu'incombe la charge de perpétuer la tradition familiale. Elle s'y attachera parce que cette forge est toute sa vie et parce qu'elle répugne à quitter cette terre où elle est intimement enracinée. Une femme maître de forge : la tâche est difficile, mais, grâce aux hommes qui l'aiment et à ceux qui se battent à ses côtés, Séverine sauvera le Paradou des crises et des révolutions, jusqu'à cette date fatidique : 1860, lorsque Napoléon III ouvre les frontières aux produits étrangers. Un jour de la fin du siècle, une vieille dame se penche sur son passé : Séverine, de retour au Paradou après des années d'absence, assise sur la murette qui domine la forge et la vallée, revit des décennies de batailles et d'amours. Une femme forte, Séverine ; une femme qui ne transige pas avec les sentiments : une femme de passion. Dans ce roman imprégné des odeurs du terroir périgourdin, Michel Peyramaure, qui connaît bien cette province, fait revivre une civilisation aujourd'hui éteinte mais pas oubliée : celle des temps où les hauts fourneaux crachaient leurs flammes et leurs fumées au fond des vallées perdues.