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Un mois avant l’accident cérébral qui le réduit au silence, Baudelaire écrit à sa mère : « Dans ce livre atroce, j’ai mis tout mon cœur, toute ma tendresse, toute ma religion (travestie), toute ma haine » (février 1866). Journal intime d’une âme déchirée, Les Fleurs du Mal sont d’aujourd’hui : poèmes courts, images de la ville, provocations même parlent à notre sensibilité.
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