À la maison de repos des Hortensias, les pensionnaires, tous d'anciens artistes de la scène, n'ont pas perdu la fougue de leur jeunesse : Robert est resté un déclamateur de vers, tentant par tous les moyens d'attirer l'attention des femmes et d'amuser la galerie de ses blagues intarissables, Prosper joue les rebelles en dérobant des bouteilles de vin à l'économat, Lola encore sollicite ses charmes endormis pour séduire son médecin.
Une ode à la vie, à la frivolité et à la légèreté qui seules permettent de résister à l'angoisse de la fin approchante, et rendent précieuses les aventures de chaque jour.