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Paul Sérant est né le 10 mars 1922, à Paris. En 1945, il part pour Londres comme journaliste à la section française de la B.B.C. De retour à Paris, il travaille dans des organismes internationaux, à la radio, et au journal Combat. L’étude des doctrines ésotériques et la fréquentation de différents cercles, inspirèrent ses premières œuvres. Avec les Inciviques, il change complètement de registre. Ce titre évoque le terme qui a qualifié les collaborateurs en France, et surtout en Belgique où ceux-ci n’ont toujours pas le droit de vote. Les Inciviques évoquent — avec une grande justesse de ton — le parcours de jeunes gens dans l’histoire la plus tragique du siècle dernier : celle de la Collaboration et de la Milice. Ces jeunes inciviques sont du mauvais côté, appartenant à une organisation qui a été exterminée par les “terroristes” d’hier, devenus les maîtres du pays à la Libération, ils feront partie des 100 000 victimes de l’“Épuration”. Et pourtant, ces jeunes hommes, loin d’être des dévoyés et des criminels, se sont donnés avec ferveur et sincérité à un idéal, à une époque où 99 % des Français restaient dans une confortable neutralité. Pourquoi l’ont-ils choisi ? Quelle sera leur attitude à la fin de l’Occupation ? Devenus des réprouvés, échapperont-ils à la prison ou à la mort ? L’auteur précise qu’il n’a pas voulu défendre leurs idées politiques, il a simplement voulu faire comprendre les problèmes qui s’étaient posés à quelques jeunes gens d’hier, en rejetant tout machiavélisme.