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Né le 24 janvier 1929, à Lunéville, patrie de Charles Guérin. Livre de chevet de son enfance : Bibi Fricotin ; deux passions : les soldats de plomb et la fille du surveillant général. Plus tard, trois années terribles chez les Jésuites où, dans des textes choisis, il découvre pêle-mêle Rimbaud, Mallarmé, Baudelaire, Verlaine, Samain, Verhaeren, Hérédia, Claudel, Valéry. Ensuite, c’est la faculté de droit, le service militaire, pendant lequel il écrit « Les Inconvénients du Métier » (1951). Des influences ? Citons seulement Paul Éluard, à qui il doit (1947) d’avoir mieux distingué et affermi le son de sa propre voix, Henri Michaux, Pierre Reverdy. Activités essentiellement poétiques, mais ferveurs plus variées : le Jazz, musique incarnée, Gide, Camus, Racine, Mozart, la peinture, le vin rouge, le football, les paquets de cigarettes, qu’il collectionne, et des êtres surtout. Pessimiste, moins par psychasthénie que par un constant effort de lucidité portant promesse d’un véritable optimisme à hauteur d’homme qui ne soit plus enfin celui des diverses espèces de contempteurs de la vie, ni celui des boy-scouts. Signe particulier : pas de conversation.