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Description

Publié en édition française et anglaise et sous le co-pilotage de Hans-Helmut Kotz -Resident Fellow, Center for European Studies, Harvard University, Cambridge, MA- et Jean-Paul Pollin -Professeur émérite, Université d’Orléans-, le numéro 153 de la Revue d’économie financière est consacré aux inflations.

Réunissant 28 auteurs et riche de 19 articles, ce numéro dont le thème central se décline en 4 chapitres :

- Histoires d’inflations

- Inflations : des différences entre les pays et les catégories de revenus

- Les approches explicatives des inflations

- Quelles voies de retour vers la stabilité ?

Les articles de sa première partie montrent que cette diversité des inflations est depuis longtemps inscrite dans l’histoire des faits et des théories. La flambée des prix, qui a suivi la découverte du Nouveau Monde, ne ressemble pas et ne se comprend pas comme celles générées par les conflits armés ou les chocs pétroliers du XXème siècle.

Dans le cas présent, l’impact de l’inflation a été différent selon les pays car leurs systèmes productifs (notamment leur sensibilité aux prix des énergies), ou la distribution de leurs chaines de valeur, étaient dissemblables, mais, également, parce qu’ils n’ont pas réagi de la même façon avant et après l’envolée des prix. La seconde partie du numéro en donne plusieurs illustrations.

Ceci conduit à revenir sur les diverses explications des inflations, moins pour les opposer que pour en saisir la complémentarité. Celles d’aujourd’hui sont sans doute le produit (dans des proportions variables) de restrictions de l’offre, d’excès de demande, de changements structurels et de conflits de répartition. L’affirmation simpliste selon laquelle l’inflation est toujours, et en tout lieu, un phénomène monétaire n’est donc vraie que dans un sens très étroit : elle est une perte de valeur des moyens de paiements. Dès lors, on ne peut conférer à l’une ou l’autre des politiques macroéconomiques l’exclusivité ou la « dominance » dans la poursuite du retour à la stabilité des prix. Il importe au contraire de combiner les composantes de ces politiques, c’est-à-dire approfondir le principe et les formes de leur coordination. Le numéro s’achève sur cette proposition d’un nouveau « policy mix ».

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