Éloge de l'imperfection, Les Lieux et la poussière raconte la nostalgie et la beauté d'un monde qui disparaît.
À Tanger, Paris, Milan ou Kyoto, Roberto Peregalli s'attarde sur la splendeur des ruines, de la pénombre ou des paysages silencieux, et nous rappelle combien tout est fragile dans notre être et notre façon d'être. Tout est poussière.
Son texte a la force soudaine d'un objet intime retrouvé par hasard qui dit de façon déchirante et immédiate ce que nous sommes, et que nous avons perdu.