Il est ici question de l'endroit où l’on vit. La maison, l’appartement ; le toit que l’on a, ou que l’on n’a pas. Notre habitation parle de nous, de notre mode de vie, de nos choix ou de nos renoncements, de nos envies.
En Bretagne, des parpaings avec vue sur mer. À Madison, des bardeaux de bois. En Provence, de la pierre éclaboussée de soleil. À Paris, du béton... avec terrasse.
Mais les murs protègent d’autres trésors que le plancher de chêne et le bruit de la pendule du salon : un bourdonnement de vie, l’ambigüité, le ridicule, la fragilité de ses habitants.