9 septembre, Manhattan. Un homme ordinaire reçoit une enveloppe anonyme et se met à marcher en direction du métro, station Union Square. À peine s'est-il arrêté sur le quai qu'il explose, semant la mort autour de lui. Très vite, les mises en marche et explosions de ce genre se multiplient à une allure folle, à travers tous les États-Unis. Sam Pollack (NYPD) et Liz McGeary (Homeland Security), les deux agents chargés de l'enquête, doivent admettre qu'ils sont confrontés à une menace d'une envergure inouïe. Une attaque non revendiquée et d'autant plus difficile à contrer qu'elle transforme des innocents en terroristes potentiels, à leur insu, faisant d'eux les agents de ce scénario apocalyptique.
Celui-ci intervient au pire moment pour le président en exercice, Stanley Cooper, candidat à sa propre réélection et qui pourrait bien être, lui aussi, l'un des maillons faibles du dispositif machiavélique imaginé par les ennemis de son pays.
La cavale sans fin de ceux qu'on appelle les « marcheurs de la mort » ne fait que commencer, emportant tout sur son passage.