Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Peut-on encore aimer les œuvres de Pablo Picasso, Ernest Hemingway, Roman Polanski et Michael Jackson ? Dans cet essai qui a fait beaucoup de bruit lors de sa sortie aux États-Unis, Claire Dederer, critique de cinéma pour le New York Times, explore un malaise qui s’est installé dans toutes les conversations : certains de nos films, livres et musiques préférés ont été créés par des « monstres ». À la fois ode au plaisir d’une journaliste cinéphile qui raconte avec passion les œuvres et confession d’une fan qui s’est sentie trahie, Les Monstres développe l’idée de « taches » sur les productions artistiques, aussi soudaines qu’indélébiles, devenues impossibles à ignorer. Il ne s’agit pas de dresser une liste noire de créateurs mais plutôt de proposer une réflexion sur la rencontre entre la biographie d’un artiste et celle de son public – dans la diversité des expériences et des traumatismes individuels. Claire Dederer examine une société post-romantique où le génie, qui avait été auréolé d’une gloire toute virile, n’est plus exempté de jugement moral. Une œuvre peut-elle être destituée à cause des actions répréhensibles de son créateur ? Quel que soit son contenu ? Et si elle a été réalisée avant le passage à l’acte de l’auteur, cela doit-il infléchir notre jugement ? Mais surtout, peut-on continuer à aimer ces œuvres malgré tout ? Véritable best-seller aux États-Unis, l’essai de Claire Dederer est une contribution essentielle au débat public. Conçu comme un Contre Sainte-Beuve contemporain et féministe, Les Monstres pétille de drôlerie et d’érudition, sans jamais tomber dans le relativisme ni la caricature.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Carine Chichereau