Mangalam Shubam ! Que le bonheur vous sourie. C'est ainsi que Basheer ponctue ses histoires, petits contes philosophiques murmurés à l'oreille du lecteur. Toujours bienveillant même quand il lève sur l'absurdité du monde un sourcil ironique, Basheer le sage charme la réalité comme d'autres font danser les serpents.
Dans « Les Murs », le narrateur s'enchante d'une voix derrière l'infranchissable mur qui le sépare de la prison des femmes. Il y a des bastonnades et des humiliations, les dernières heures d'un condamné et un directeur de prison amateur de roses, mais de tout cela, Basheer fait un hymne à l'amour, à l'espoir, une leçon de bonheur et de sagesse.
« Une liberté, une fantaisie et une simplicité de ton parfaitement rayonnantes. »
Frédéric Vitoux, Le Nouvel Observateur